Le growth hacking est sur toutes les lèvres. Véritable accélérateur de croissance, utiliser les bonnes techniques marketing aux bons endroits peut vraiment faire des miracles !

Nous vous proposons de découvrir 7 exemples de stratégies de growth hacking dont vous pouvez vous inspirer dès aujourd’hui pour votre entreprise.

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Airbnb : savoir où est sa cible, l’exemple de growth hacking indispensable

Vous pourrez essayer toutes les techniques de growth hacking existantes. Mais si vous ne les appliquez pas à l’endroit où se trouve votre cible, vous pourrez dire adieu à votre croissance.

L’entreprise à prendre en exemple pour son growth hacking sur ce point est Airbnb : conscient que sa cible était active sur le site Craiglist, Airbnb a permis à ses utilisateurs de mettre leur offre d’hébergement sur Airbnb et sur Craiglist en même temps.

Airbnb a correctement identifié où se trouvait son audience cible et en a tiré profit pour maximiser sa croissance à l’époque, un exemple de growth hacking indispensable dont il faut s’inspirer !

Zapier : du contenu éducatif en grande quantité, un exemple de growth hacking efficace

Zapier est un service web qui permet de connecter différentes applications entre elles (par exemple Gmail et Trello, Mailchimp et Google Sheets ou encore Facebook et Gmail). Le but est d’automatiser des actions pour vous faire gagner du temps.

En tant que grand répertoire à applications, la solution de growth hacking de Zapier a été de créer du contenu éducatif centré sur les applications que le site prenait en charge : un véritable exemple de stratégie pertinente !

Comment utiliser la recherche LinkedIn, comment utiliser Pipedrive, comment exporter des contacts depuis Outlook, etc. Ces contenus publiés sur le blog de Zapier ont forgé l’autorité de l’entreprise en plus de leur apporter une nouvelle audience. De quoi atteindre les 600 000 lecteurs en trois ans.

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Growth hacking et réseaux sociaux : guider ses utilisateurs dès leurs premiers pas

Les réseaux sociaux ont un processus d’inscription facilité : ils sont très connus et gratuits. Le travail principal se situe donc après l’inscription : quand il faut maintenir l’utilisateur sur la plateforme pour perpétuer sa croissance.

Pour cela, guider l’utilisateur dès ses premiers instants sur le site est fondamental en growth hacking : on parle de processus d’onboarding.

Facebook : « Vous connaissez peut-être ? »

L’exemple de Facebook met en avant une notion très importante en growth hacking : le North Star Metric. Il s’agit de l’indicateur de croissance principal sur lequel une entreprise doit se concentrer pour une croissance sur le long terme.

Pour Facebook, cet indicateur tournait autour du nombre de relations qu’établissait un utilisateur dans les quelques premiers jours après son arrivée sur le réseau social. Les premiers instants de l’utilisateur sont donc les plus importants. Pour cela, Facebook s’est concentré sur le processus d’onboarding en guidant l’utilisateur dès son arrivée avec des propositions d’amis (via adresse email, contacts téléphoniques, etc.).

C’est un exemple de growth hacking que l’on retrouve sur plusieurs réseaux sociaux comme Instagram, Pinterest ou encore Twitter (comme nous le verrons plus loin dans cet article).

LinkedIn : la question qui change tout

On peut également citer l’exemple de growth hacking de LinkedIn qui repose sur une simple question : où avez-vous travaillé par le passé ?

En posant cette question, LinkedIn permet à ses utilisateurs de faciliter les premières connexions (connexions suggérées d’après vos anciens postes). Cela augmente significativement la rétention des utilisateurs sur le réseau social qui ne sont pas livrés simplement à eux-mêmes après leur inscription.

Twitter : ne laissez pas un fil d’actualité vide

Comme pour Facebook et LinkedIn, Twitter mise sur une suggestion de comptes à suivre dès les premiers instants d’un utilisateur sur le réseau social. Cet exemple de growth hacking est une démonstration supplémentaire de l’efficacité d’un processus d’onboarding réussi.

En suggérant des comptes à suivre sur Twitter, le fil d’actualité de l’utilisateur se remplit directement pour mettre en avant ce que l’application peut apporter.

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Tinder : aller au contact direct de ses utilisateurs, l’exemple de growth hacking improbable

Un exemple de growth hacking original qui force l’admiration est celui de Tinder à ses débuts. Mettant de côté la publicité classique et la visibilité sur Internet, chez Tinder, on a préféré aller directement sur le terrain pour demander aux gens d’installer l’application.

Oui, vous avez bien lu.

Cette technique peut sembler être terriblement datée, un peu à la façon d’une vente en porte à porte. Et pourtant, la stratégie bien rodée de Tinder était puissante et s’est révélée être redoutablement efficace.

En effet, Whitney Wolfe Herd, la cofondatrice de Tinder, a tout d’abord intégré les sororités de son propre campus pour demander aux femmes d’installer l’application. La suite logique ? Se rendre dans les fraternités de ce même campus pour présenter aux hommes l’application sur laquelle leurs amies étaient déjà.

L’application Tinder a ainsi triplé ses utilisateurs, de 5000 à 15000 grâce à une stratégie de growth hacking finement menée !

Paypal : le programme de récompense gagnant-gagnant

Paypal est un système de paiement en ligne. Ceci s’accompagne donc de sérieuses réticences pour les utilisateurs au tout début, surtout à une époque où payer en ligne n’était pas anodin.

Si la fiabilité de cette plateforme n’est plus en doute aujourd’hui, Paypal a dû attirer ses utilisateurs d’une façon improbable : en leur donnant de l’argent.

Au même titre que l’on voit des banques ou des sites de paris en ligne offrir de l’argent pour l’ouverture d’un compte, Paypal promettait 20 $ pour chaque inscription. Plus que cela, chaque parrainage vous faisait gagner de l’argent à vous et votre filleul.

L’exemple de Paypal peut vous sembler être du growth hacking financièrement peu avantageux. Pourtant, c’est ainsi que l’entreprise a gagné plusieurs milliers d’utilisateurs en quelques mois.

Ce qu’il faut retenir ici, c’est principalement l’efficacité du système de parrainage aujourd’hui comme technique de growth hacking. Vous n’avez pas à offrir de l’argent brut, mais la promesse de réductions futures est un essentiel de growth hacking qui fonctionne toujours très bien aujourd’hui.

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Il y a beaucoup à apprendre des grandes success stories que nous connaissons tous. Airbnb, Facebook, Tinder, Paypal, … ces grandes entreprises montrent de véritables exemples concrets de growth hacking efficace. Le tout est d’appliquer les bonnes méthodes aux bons endroits en fonction de sa cible.

Inspirez-vous de ces 7 exemples de stratégies de growth hacking dès aujourd’hui pour votre projet, vous pourriez être surpris du résultat !